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jeudi 11 décembre 2014

Serviteur/Esclave 2

Souvent quand j'aborde ce thème, plusieurs me disent : oui, mais il ne faut pas oublier que nous sommes enfants de Dieu ! C'est sûr que nous ne pouvons pas oublier ce grand privilège d'être ses enfants. Pour plusieurs, l'expression « enfant de Dieu » est plus affectueuse et plus agréable à l'oreille que serviteur/esclave. Souvent, on voit les mots « enfants de Dieu » comme un contenu de grandes bénédictions et privilèges et c'est vrai. Il est intéressant de remarquer cependant que la plupart du temps, les écrivains réfèrent à eux-mêmes plus souvent comme serviteur/esclave que comme enfants de Dieu. Exemples : « Moi Paul serviteur/esclave de Jésus » « Jacques, serviteur/esclave de Dieu »    « Simon Pierre, serviteur/esclave et apôtre de Jésus-Christ » « Jude, serviteur de Jésus-Christ »  Pourquoi ?

Dieu nous appelle ses enfants bien-aimés et je lui rends gloire pour cela. Mais le croyant qui a été adopté dans la famille de Dieu ne peut pas oublier ce qu'il était avant qu'on l'adopte. Pendant que son Père l'appelle, enfant bien-aimé, lui dans son cœur se dit : je suis un enfant serviteur/esclave, car il sait qu'il n'a pas mérité et ne méritera jamais cet amour divin acquis par Jésus. Lui qui était un rebelle, un ennemi, un enfant du diable, un idolâtre (qui avait rejeté son Père, son Dieu pour en prendre un autre) il se voit comme un serviteur de son Père. Oui, oui, il se sait un enfant aimé et plus il le comprend plus il veut être un serviteur/esclave. 

Nous ne pouvons pas empêcher notre Père de nous bénir et nous ne pouvons pas nous empêcher de le servir.

Demain, je montrerai comment beaucoup, parmi ceux qui se disent serviteur/esclave, démontrent le contraire dans leur quotidien

 Votre frère
 

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